Bienvenue au pays de Jehanne ! Suivez jour après jour une visite de la ville de Vaucouleurs, la cité qui arma Jehanne d'Arc,jusqu'à son apogée: la fête du départ de Jehanne.
mardi 31 janvier 2012
lundi 23 janvier 2012
lundi 16 janvier 2012
mercredi 11 janvier 2012
Le Spectacle
Genèse du projet de spectacle, un travail collectif
Lors d’une séance de travail, Hocine Chabira (metteur en scène de la Chose Publique) et moi (Carole Prieur : auteure de la Chose Publique) avons proposé aux participants de réfléchir à l’écriture du spectacle. Nous leur avons demandé de choisir un mot pour qualifier l’époque où Jeanne d’Arc vivait puis Jeanne elle-même, en voici quelques uns :
L’époque : sombre ; insécurité ; noire ; famine ; misère… Toute cette misère il faudra bien du courage pour l’éradiquer. C’est la misère : ma femme et mon enfant ont faim.
Jeanne d’Arc : inconsciente ; insoumise ; dévouée ; ou elle est folle, ou elle est complètement folle ; déterminée ; enragée ; dévote ; androgyne...
Puis nous leur avons demandé d’écrire une des répliques d’un des personnages principaux (Baudricourt, Jean de Metz, Mme Leroyer, l’oncle de Jeanne) ainsi que du peuple.
Extraits :
Baudricourt : Mais que croit-elle, cette folle ?
Baudricourt : Est-ce que je peux lui faire confiance ? Pourquoi n’est-elle pas restée à garder ses moutons ?
Baudricourt : Cette petite insouciante veut encore me voler mon armée et ma garnison. Qu’elle aille aux enfers !
L’oncle : Je pense que cette fille a le feu en elle.
Mme Leroyer : Pourquoi ne pas croire en elle ?
Mme Leroyer : Si elle était ma fille, l’encouragerais-je à partir l’enfermerais-je pour la garder en vie ?
Jean de Metz : Notre destin est désormais entre ses mains.
Jean de Metz : Seigneur ! Le peuple la préfère à vous !
Le peuple : Seigneur vous ne faites rien ? Elle est notre dernier espoir, faites-lui confiance et laissez-la partir ! Nous comptons sur toi et prierons pour toi ! Jeanne tu portes en toi notre espoir ! On l’a vue prier, on doit croire ce qu’elle dit. Pitié mon seigneur, à manger !
Puis j’ai écrit l’histoire en essayant de la colorer des impressions des uns et des autres et d’inclure certaines répliques. Il était important par exemple de sentir à la fois le doute des habitants de Vaucouleurs sur la santé mentale de Jeanne et l’espoir qu’il plaçait en elle ; de montrer comment l’époque misérable pouvait influencer les habitants dans leur croyance en Jeanne ; de voir comment les habitants ont porté Jeanne et ont finalement obligé Baudricourt à lui céder ; Tous ces thèmes je les ai tirés de notre séance de travail. L’écriture s’est teintée de ce que les participants avaient envie de dire sur cette histoire qu’il connaisse bien.
Carole Prieur
Lors d’une séance de travail, Hocine Chabira (metteur en scène de la Chose Publique) et moi (Carole Prieur : auteure de la Chose Publique) avons proposé aux participants de réfléchir à l’écriture du spectacle. Nous leur avons demandé de choisir un mot pour qualifier l’époque où Jeanne d’Arc vivait puis Jeanne elle-même, en voici quelques uns :
L’époque : sombre ; insécurité ; noire ; famine ; misère… Toute cette misère il faudra bien du courage pour l’éradiquer. C’est la misère : ma femme et mon enfant ont faim.
Jeanne d’Arc : inconsciente ; insoumise ; dévouée ; ou elle est folle, ou elle est complètement folle ; déterminée ; enragée ; dévote ; androgyne...
Puis nous leur avons demandé d’écrire une des répliques d’un des personnages principaux (Baudricourt, Jean de Metz, Mme Leroyer, l’oncle de Jeanne) ainsi que du peuple.
Extraits :
Baudricourt : Mais que croit-elle, cette folle ?
Baudricourt : Est-ce que je peux lui faire confiance ? Pourquoi n’est-elle pas restée à garder ses moutons ?
Baudricourt : Cette petite insouciante veut encore me voler mon armée et ma garnison. Qu’elle aille aux enfers !
L’oncle : Je pense que cette fille a le feu en elle.
Mme Leroyer : Pourquoi ne pas croire en elle ?
Mme Leroyer : Si elle était ma fille, l’encouragerais-je à partir l’enfermerais-je pour la garder en vie ?
Jean de Metz : Notre destin est désormais entre ses mains.
Jean de Metz : Seigneur ! Le peuple la préfère à vous !
Le peuple : Seigneur vous ne faites rien ? Elle est notre dernier espoir, faites-lui confiance et laissez-la partir ! Nous comptons sur toi et prierons pour toi ! Jeanne tu portes en toi notre espoir ! On l’a vue prier, on doit croire ce qu’elle dit. Pitié mon seigneur, à manger !
Puis j’ai écrit l’histoire en essayant de la colorer des impressions des uns et des autres et d’inclure certaines répliques. Il était important par exemple de sentir à la fois le doute des habitants de Vaucouleurs sur la santé mentale de Jeanne et l’espoir qu’il plaçait en elle ; de montrer comment l’époque misérable pouvait influencer les habitants dans leur croyance en Jeanne ; de voir comment les habitants ont porté Jeanne et ont finalement obligé Baudricourt à lui céder ; Tous ces thèmes je les ai tirés de notre séance de travail. L’écriture s’est teintée de ce que les participants avaient envie de dire sur cette histoire qu’il connaisse bien.
Carole Prieur
mardi 10 janvier 2012
lundi 2 janvier 2012
Marche de Jehanne d'Arc
En préambule de la Fête de Jehanne d'Arc, participez à la Marche qui aura lieu le Samedi 11 Février 2012
Remplissez la fiche d'inscription ci-jointe et la renvoyer avec le règlement à l'Office de Tourisme
Contact Téléphonique : Office de Tourisme du Canton de Vaucouleurs : 03.29.89.51.82
Remplissez la fiche d'inscription ci-jointe et la renvoyer avec le règlement à l'Office de Tourisme
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